Via Genial.ly, j’ai créé, pour mes élèves, une affiche interactive leur proposant 15 chaînes Youtube à caractère scientifique. Ces chaînes permettent de jeter un regard scientifique sur plusieurs phénomènes tout en développant leur esprit critique 😉

 

Tout juste avant la période des Fêtes, je nous lance un défi: les Pédagogues.

Préambule

Constat #1 L’éducation de demain, c’est aujourd’hui.

Constat #2 Il y a un tas de profs qui innovent.

Constat #3 Il y a un tas de profs qui voudraient innover mais ne savent pas par où commencer.

Constat #4 Il y a un tas de profs qui ne … parce que…

Constat #5 Le partage de ressources sur le web, entre acteurs du monde de l’éducation, est de plus en plus présent. On échange sur Facebook, sur Twitter, sur nos blogues à propos de nos expériences, de nos approches pédagogiques et des outils que l’on utilise.

Constat #6 Les collaborations et la contributions à divers chantiers pédagogiques sont plutôt rares. On demande aux élèves de collaborer à leurs apprentissages, mais le faisons-nous de notre côté lorsque vient le temps de créer, produire, construire?

Constat #7 Les enseignants me mentionnent souvent qu’il faut chercher longtemps sur le web pour trouver exactement ce qu’il nous faut, qu’il y a beaucoup d’objets d’apprentissage mais qu’ils ne sont pas classés ou qu’ils ne sont pas tout à fait complets ou adaptés.

Constat #8 Tout le monde fait plein d’affaire chacun de son bord!

Constat #9 On retrouve des choses en double ou en triple!

Constat #10 On ne cesse de réinventer la roue!

Constat #11 Il y a seulement 24 heures dans une journée.

Constat #12 On pourrait écrire plusieurs autres constats.

Donc, les Pédagogues VS 3QPOC.

C’est quoi les Pédagogues?  C’est un projet qui se veut un moteur de changement dans le monde de l’éducation. C’est une façon de s’approprier notre profession. Un organisme sans but lucratif. Un donner au suivant. Une grand corvée. Donner l’exemple. Les Pédagogues, c’est un projet contributif de mise en chantiers pédagogiques. L’endroit où nous créerons de toutes pièces, à l’aide de tous les outils collaboratifs que nous offre le web, des objets d’apprentissage, des SA, des SAÉ, des planifications globales, des listes de ressources, etc. L’endroit où nous regrouperons stratégiquement nos ressources existantes. L’endroit où nous soumettront notre travail aux yeux de nos pairs afin que le tout soit bonifié. Remixer. Une station-service collaborative. Faire de l’ordre collaboratif dans l’ordre individuel. Tout est à construire. Et au final ou en chemin, pourquoi ne pas déconstruire les programmes, les curriculums, et inventer… Se donner un projet commun où une multitude de perspectives se greffent pour former autre chose… une sorte de possible. Je sais, c’est tout un programme. Rien n’empêche de faire plusieurs saisons.

Qui sont les Pédagogues?   Le groupe des Pédagogues doit regrouper des enseignants, des conseillers pédagogiques et tous autres acteurs du monde de l’éducation qui désirent innover. Il peut déjà prendre place ici:

Groupe Facebook et Groupe Google+

Et pour suivre ce qui se trame: la page Facebook.

Quand? N’importe quand. Surtout.

Où? Partout. Autant que possible. On doit retrouver les Pédagogues un peu partout dans nos écoles, dans les centres de formation et d’apprentissage. Réels et virtuels. Analogiques et numériques.

Pourquoi? Pour créer le changement. Partant des constats, j’ai envie que l’on regroupe nos efforts, que l’on concerte nos actions pour faire progresser la cause de l’éducation et par ricochet la pédagogie et la didactique dans une perspective d’innovation. Se faisant, donner le goût  à nos collègues de s’investir. Donner l’exemple. Parce que tout le monde à le devoir d’investir dans sa formation continue.

Comment? En utilisant l’existant. Les outils que l’on dit techno. En collaborant. En élaborant. En réunissant. En construisant. En s’entendant sur les savoirs-être, savoirs et savoirs-faire. Voici d’ailleurs la liste de chantiers des Pédagogues. La moindre idée a sa place. Regroupons donc nos efforts.

À chaque fois que vous avez une idée, même un semblant de début d’idée, ajoutez-la à la liste des chantiers. D’autres s’occuperons de mettre de la chair autour de l’os!

Faisons plus que partager nos ressources et nos coups de coeur et cherchons réellement à construire ensemble. . Inscrivez votre nom et commencez à collaborer!

*Il y a plus d’un an, ce billet se serait intitulé «Les Technopédagogues». Maintenant, c’est sous-entendu…

Voici un projet que vous pouvez faire réaliser à vos élèves. Le principe est de les faire jouer à un jeu, comme par exemple Cut the Rope, et de leur faire créer une présentation qui expliquera comment terminer un niveau en obtenant le nombre maximum de points, d’étoiles, etc. Comme vous l’aurez deviné, le jeu est un prétexte pour intégrer certaines portions de la matière à voir dans le cours (ex.: le texte descriptif, temps de verbes, etc). Ici, le projet a été réalisé en anglais de secondaire 1, langue seconde. Voici l’exemple que j’ai réalisé pour modéliser le résultat attendu de la part des élèves.

 

Ce projet se fait aussi bien à l’aide d’un iPod, d’un iPad ou d’un ordinateur, qu’il soit sous Windows ou Mac. C’est aussi une belle occasion pour introduire auprès des élèves le principe d’«app-smashing» ou, selon une traduction libre, d’«applimixité». Ci-dessous, vous trouverez un exemple visuel d’applimixité pour ce projet. Vous pouvez cliquer sur les différents éléments pour obtenir l’application, l’extension ou le logiciel désiré.

 

Vous pouvez télécharger l’image sans les liens en cliquant ici.

Finalement, c’est une belle façon d’inscrire une tâche au dernier niveau du modèle SAMR!

À l’assaut des applications 2.0 !

En classe, j’aime présenter de nouveaux services et applications web aux élèves. J’aime surtout les faire utiliser 🙂 Je recherche la simplicité, la versatilité, l’« interpolarité » (si possible), la « collaborativité » et la gratuité ;-). Les applications doivent répondre à ces besoins. Tant et aussi longtemps que l’outil ne répond pas exactement à mes besoins, je cherche et teste.

Récemment, je délaissais les Mind42, Bubbl.us et MindMeister de ce monde pour me rabattre sur Cacoo ! Il n’est pas parfait, mais les points positifs et les possibilités sont beaucoup plus nombreux que les petits désagréments. Nous avons même l’opportunité de demander (et de voter pour) de nouvelles fonctionnalités à intégrer !

Toutes ces applications, nous devons les trouver. Souvent, je vois passer de petits bijoux sur mon fil Twitter, mais parfois, je vais faire un tour sur divers sites web où une pluie de nouveautés 2.0 nous attend.

Voici donc une liste non exhaustive de sites présentant les nouveautés dans le monde des sites web 2.0. De nombreux nouveaux services apparaissent chaque jour, mais plusieurs aussi disparaissent ! Plusieurs trouvailles en perspectives que vous pourrez intégrer dans vos cours avec les élèves.

AppAppeal est un répertoire de plus de 2600 services web répartis dans 178 catégories. Chaque service ou application possède sa fiche descriptive où l’on y retrouve :

  • sa date de mise en ligne
  • le rang accordé par Alexa
  • une cote d’appréciation de la rédaction sur 5 étoiles
  • la disponibilité au format mobile (app)
  • une description de son utilité
  • un bref historique
  • des applications alternatives
  • la différence avec les autres applications du même genre
  • une appréciation générale
  • la procédure pour s’abonner au service
  • le cout de l’inscription (s’il y a lieu)
  • à qui ce service est recommandé
  • la langue dans laquelle le service est offert
  • des captures d’écran
  • une liste de mots-clé en lien avec le service
  • une carte de l’utilisation de l’application par pays
  • une liste de liens vers des articles externes (Mashable, Techcrunch, etc)
  • son fil Twitter
Selon moi, c’est le site le plus complet de cette courte liste.

Sous son format de blogue, Feedmyapp propose des applications web et mobiles. Les descriptions et analyses y sont plutôt courtes. Il n’y a pas de catégories, mais chaque application est associée à certains mots clés. Tout au bas du site, il est possible de sélectionner l’un des 44 pays afin de trouver des applications provenant de ceux-ci (et dans la langue parlée !).

Go2web20.net nous accueille avec une fenêtre d’applications web tous genres confondus. Il existe 72 fenêtres de 47 applications de quoi contenter votre soif 2.0. Les applications sont classées dans leur ordre de mise à jour, mais il est possible de faire une recherche par mots clés. Par contre, nous n’avons droit à aucune analyse.

Le site propose une quinzaine d’analyses par jour de différentes applications web. Il n’y a qu’une douzaine de catégories, mais chaque service web se voit attribué quelques mots clés qu’il est possible de chercher dans le moteur de recherche du site.

Plus modeste quant au nombre d’analyses (environ 300), Pleebi est un annuaire de services web 2.0 et d’applications web 2.0. La plus grande particularité, c’est qu’il recense seulement des services offerts en français. Un nuage de mots clés nous permet de sélectionner une catégorie. Malheureusement, la dernière publication de Pleebi remonte à juillet 2011…

Évidemment, ces sites sont de type généraliste : ils ne visent pas à nous présenter des applications web sous l’angle d’une utilité pédagogique.

Si vous désirez consulter des listes d’applications spécialement élaborées pour l’éducation, vous pouvez vous tourner vers :

et

Ces deux sites divisent les applications dans diverses catégories ce qui facilite la tâche lorsque vient le temps de chercher.

Pour ma part, j’ai commencé, sur le site de mon cours, à colliger diverses applications et services web (que j’appelle des « webgiciels ») en les catégorisant sous des verbes (ex. : publier, annoter, écrire, présenter, créer une bd, etc.).

Laissez-vous inspirer par tous ces outils. Le fait d’en découvrir d’autres nous ouvre parfois la porte à des idées de projets à faire en classe.

Et vous, où trouvez-vous vos applications et services web 2.0 ?

PS Si vraiment vous n’en avez pas assez, allez faire un petit tour ici. Une belle carte régulièrement mise à jour et vue par plus de 600 000 personnes vous y attend !

Je veux garder la trace de cette présentation qui m’apparait faire le tour de la question des transformations que subit l’éducation depuis les dernières années et surtout depuis l’avènement du web 2.0. Cette présentation, offerte par Marcel Lebrun dans le cadre d’un colloque, avait pour objectif de rendre capable de :

  • Comprendre les (nouveaux) rôles des enseignants et des étudiants dans l’« école » de demain.
  • Faire de la cohérence pédagogique (une) porte d’entrée dans toute la réflexion TICe.
  • Profiter des TICe pour repenser l’enseignement traditionnel.
  • Imaginer des usages « à valeur ajoutées » des TICe et du numérique.

Lors de la sortie du iPad, on a prétendu que ce dernier était surtout un objet qui nous portait à consommer plutôt qu’à créer. L’idée que j’avais en tête en commandant mon iPad était de prouver que celui-ci pouvait très bien servir à la création.

Je vais tenter quelques tests afin de voir s’il est possible d’accomplir des tâches qui peuvent être demandées à des élèves ou des tâches reliées à la planification ou l’enseignement de nos cours.

Test 1: Écrire un billet sur un blogue WordPress.

Il est possible d’écrire un billet sur son compte WordPress (comme je le fais présentement 😉 ) en passant non pas par l’application dédiée de WordPress mais bien par le site web via l’application Safari. Vous devez d’abord vous connecter à votre compte pour avoir accès à votre tableau de bord. Par la suite, il suffit d’ajouter une nouvelle page via le menu de gauche. Facilement, on peut donner un titre à notre article en cliquant tout simplement sur la case prévue à cet effet. Il est possible, via le menu de droite, d’associer l’article à une catégorie et d’ajouter des mots-clés.

Pour que l’expérience d’écriture fonctionne, il faut obligatoirement basculer du mode Visuel au mode HTML. Ce faisant, vous aurez accès à l’espace d’écriture: le clavier virtuel apparaîtra. Dans ce mode, vous pourrez écrire en caractères gras et en italique seulement en sélectionnant le texte et en cliquant sur les boutons en haut de la boite d’écriture. Il est aussi possible d’intégrer un lien et de barrer un mot.

Nous pouvons insérer une image seulement si l’on a une adresse url:Journal

Nous pouvons aussi insérer un vidéo avec les balises html:

L’exercice n’est pas simple et les options sont minimales. Naviguer dans le texte cause aussi problème car bien souvent on ne le voit pas au complet: il faut donc laisser notre doigt appuyé contre l’écran pour faire apparaître la loupe et nous permettre ainsi de se déplacer lentement dans le texte. Une autre solution est de basculer quelques fois entre le mode visuel et html: cela permet de voir pratiquement tout le texte.

Par contre, le fait d’écrire directement depuis le site web nous rapproche des balises html que l’on peut utiliser, ce qui n’est pas le cas avec l’application WordPress pour iPad. Cela nous permet aussi de travailler dans un environnement avec lequel nous sommes déjà familier. Il faut aussi mentionner que l’application WordPress est loin d’être complète et stable. De là mon intérêt d’essayer de rédiger un texte directement sur le site web.

C’est loin d’être idéal et parfait, mais lorsque le but est de laisser rapidement une trace textuelle sur le web, le mode html de WordPress fait l’affaire. Cela nous force aussi à apprendre les bases du langage html afin d’améliorer le contenu de nos billets.

En attendant, on rêve au html5 🙂

Le chaos est souvent source de vie alors que l’ordre génère des habitudes.

Henry Brooks Adams

Les vacances estivales sont vraiment chose du passé… J’ai, pour la première fois de ma vie, pris de vraies vacances en famille: ma tendre moitié, nos trois amours, notre toute première tente et 2 semaines dans le Bas St-Laurent et la Gaspésie. Pour ceux qui s’inquiètent: oui, j’ai réussi à décrocher pendant ces 2 semaines! Je reviens bien reposé et d’attaque pour une onzième année!

Avec le début de cette nouvelle année scolaire, le chapitre 33 tire à sa fin. C’en fut un dense, rempli de fabuleuses découvertes, de belles rencontres virtuelles, de réflexions sur l’avenir de l’éducation. Un doux chaos! J’ai enfin mis le doigt sur ce qui fera des chapitres encore plus captivants.

Ce chapitre aura vu naître beaucoup de nouveautés:

Identité numérique

J’en avais pas, maintenant j’en ai une. En fait, ça ressemble à ce que je suis en vrai! La transposition fut donc simple et rapide. J’avais déjà en 2006, de façon anonyme, commencé un blog qui traitait de sujet de la vie quotidienne. Lorsqu’est venu le temps de parler de ma vie professionnelle, j’ai vite constaté que quelque chose clochait: je ne pourrai jamais faire référence « dans la vraie vie » à ce que j’aurais écrit… Je n’ai pas honte de qui je suis: j’assumerai ce que je dirai et écrirai! Pour mes élèves, je voulais aussi donner l’exemple.

Accompagnateur tic

La C.S. a mis en place un réseau d’accompagnateurs tic dans lequel j’ai la chance de prendre place. Belle initiative qui permet d’entrevoir de beaux jours pour les tic.

Mise sur pied d’OmniTic

C’est comme sauter en parachute pour la première fois: t’as vu plein de films, tu t’es pratiqué à faire semblant de sauter, mais t’as aucune idée de la sensation que ça va te procurer. Par contre, tu sais que tu vas passer un moment trippant! Je connaissais Protic et ce qui se faisait à la C.S. Eastern Township avant de proposer OmniTic à mon école. J’ai eu la chance d’être bien entouré et d’avoir eu une direction qui voyait un potentiel indéniable derrière l’utilisation des tic en classe. Nous avons établi un modèle que j’ai hâte de pouvoir expérimenter et de faire expérimenter. Et j’espère que ce modèle sera modifié et adapté par tous les acteurs!

Colloque de l’Aquops

Première expérience fort enrichissante. J’y allais comme on va visiter un pays inconnu s’en s’y être préparé: je voulais être ébloui! J’en ai eu pour mon (votre!?!) argent! 3 jours, c’est peu lorsque tu t’intéresses à plusieurs sujets. Et quel frustration de ne pas pouvoir assister à tous les ateliers faute de places. J’y ai rencontré plusieurs personnes de mon réseau avec qui j’ai pu échanger des idées forts intéressantes.

Présentation de la Mise à jour 2.0

Malgré le petit nombre d’enseignant qui s’y est présenté, l’expérience fut enrichissante. Tous les enseignants devraient un jour devenir formateur pour ses pairs!

Twitter (encore et toujours…)

Ze Révélation! Véritable plaque-tournante des réseaux sociaux qui ouvre les portes toutes grandes à des millions de ressources, à de l’aide, de l’entraide, à des réflexions, à de véritables amitiés professionnelles. Vous n’êtes plus seul… en autant que vous vous en donniez la peine! Il n’y a pas une journée où je n’y jette pas un coup d’œil. Le jour où tous les profs seront sur Twitter, (ou toute autre communauté de microblogue comme le tout nouveau EnDirect créé par le Récit) il s’en dégagera une véritable force pédagogique!

Espace blanc!

Pour la suite des choses: le chapitre 34…

OmniTic an 1: année scolaire 2009-2010

Et c’est parti! Le défi est d’en faire un projet commun, de se réinventer et de tirer profit de ce qui s’est dit et écrit sur ce que devrait être l’éducation au 21e siècle. J’espère avoir l’occasion de partager mes impressions sur les débuts de ce projet. Que c’est formidable d’être libéré d’une partie de tâche pour accompagner les enseignants et les élèves dans cette aventure!

Mise à jour 2.0

On y va pour une seconde tournée en début d’année! On reprend tous les concepts: veille pédagogique, identité numérique, flux rss, Google, Netvibes, Delicious, Twitter, etc. Parce que c’est pas vrai que je vais être encore le seul à être en formation continue 😉

Colloque international du CEFRIO

J’espère pouvoir aller entendre ce qui se dira sur la Génération C! Ça peut aider grandement dans nos approches pédagogiques! Reste à réunir les sommes nécessaires pour l’inscription!

Clair2010

Il y aura une telle concentration de professionnels de l’éducation au même endroit que je ne peux me résoudre à ne pas y être. Partager et réfléchir en chair et en os! Ce sera aussi la chance de pouvoir visiter une école (le Centre d’apprentissage du au Haut-Madawaska) qui utilise les tic de façon remarquable.

Colloque de l’Aquops

J’aimerais bien y retourner en tant que conférencier ou y animer un atelier. Pour parler d’Omnitic peut-être? Pour présenter des situations d’apprentissage 2.0? Si ça vous tente de vous joindre à moi pour préparer quelque chose, faites-moi signe!

Un TweetUp EdtechQC!

S’il n’y en n’a pas un qui se dessine à l’horizon, j’en organiserai un! Ce sera le premier rendez-vous de la twittosphère éducationnelle du Québec! On peut toujours rêver 😉

Blogues

Je continuerai d’écrire ici… et peut-être ailleurs! À suivre…

Ok! Tout ça devrait me tenir occupé quelques semaines…

P.S. Je sais, je sais… pas besoin de me le dire: l’entête de ce billet ressemble BEAUCOUP à ceux des billets de François Guité … 😉 C’est voulu! Merci François pour l’inspiration.

Enfin, le dernier (et tardif!) retour sur la présentation d’outils qu’un enseignant pourrait (je me retiens pour dire « devrait »…, chacun est libre de se compliquer la vie!) adopter dans sa mise à jour 2.0, tourne autour du social bookmarking ou si vous préférez, du marque-page social.

Avant même de parler de partage de signets favoris, j’ai présenté (vous me pardonnerez) le social bookmarking comme une façon d’avoir toujours sous la main, que ce soit à la maison ou à l’école, nos sites préférés. Je sais, je blasphème! Par contre, juste le fait de savoir qu’il n’était plus nécessaire de courir après ses favoris a rendu plusieurs profs heureux! Là où il y en a qui ont fait 1+1=3, c’est lorsque que j’ai mentionné qu’il était possible d’avoir accès aux listes de signets de tous ceux et celles qui étaient inscrits à un site comme Del.icio.us. C’est ça le Web en 2009: on travaille ensemble et on s’approprie les meilleures ressources, on partage nos découvertes et, ultimement, on élabore du nouveau contenu… que l’on partagera.

Chérie, où as-tu classé les papiers?

Chacun classe ses documents selon une logique personnelle implacable! Pour moi, la garantie de mon ordinateur va dans le dossier « ordinateur » et non dans le dossier « garantie ». Qui ferait le contraire? Bon d’accord, je ne retrouve pas toujours ce que je range car mon système de classement varie avec les années. Parce que tous les gens n’ont pas le même souci du classement bien pensé comme moi, on a inventé les mots-clés. 🙂 Blague à part, on ne peut pas parler de marque-page social (ou de tout autre chose à partager sur le Web comme les vidéo sur Youtube ou une présentation sur Slideshare) sans parler des mots-clés (les tags en anglais) et de la folksonomie. En résumé: à chaque truc que tu partages, tu dois y associer des termes qui pourraient en résumé le sujet et qui permettra à tous de les retrouver facilement.

Delicious: une mine inépuisable de liens.

Bien qu’il existe plusieurs sites de partage de signets, j’ai opté pour Delicious. Facile à utiliser, il existe pour ce site tout plein d’outils pour en profiter pleinement: entre autre, un add-on pour Firefox et une application pour ipod touch.

J’ai inclus sur mon compte Delicious les listes de certaines personnes qui évoluent dans le monde de l’éducation et qui partagent de véritables bijoux. Ça permet de connaître les intérêts de ceux qui gravitent dans notre réseau.

Comme une bonne partie des outils disponibles, il y a toujours, quelque part, un tutoriel qui nous guide pas à pas dans l’appropriation des outils et des façons d’utiliser le plus efficacement possible ces derniers. Voici quelques ressources utiles concernant Delicious:

Social Bookmarking in Plain English: Un autre bon vidéo de cette « série culte ».

Using del.icio.us In Education

Plusieurs présentations disponible sur Slideshare.

En final de cette présentation: Twitter!

J’en ai déjà parlé ici. Pour ceux et celles qui ne l’avaient pas deviné, ce fut mon coup de cœur en 2008-2009! Nous avons donc conclu notre présentation avec une brève description de ce qu’était le microblogging. Pour en faire une petite démo, j’ai lancé un appel sur Twitter et 6 personnes nous ont fait signe! Nous sommes à l’ère du connectivisme, vous le saviez? Ah non? J’y reviendrai…

Sur ce, bonne année scolaire 2009-2010!

P.S. Pour ceux et celles qui le désirent, je reprendrai cette courte formation en septembre… question de faire une mise à jour 2.0!

Mise à jour,  30 août 2009

Je m’en veux d’avoir « oublié » (en fait, je viens de mettre la main dessus 🙂 ) cette excellente ressource présentée par Bertin Desjardins du Récit du développement professionnel: Un répertoire de signets partagés en ligne. Merci Bertin pour cette présentation!

Partie 2: La veille pédagogique passe par les flux RSS (parce qu’il faut bien commencer quelque part…)rss logo copy

Pour les habitués du Web, les flux RSS n’ont plus de secrets. Le petit carré orangé, la plupart du temps, avec ses petites vagues qui font écho, est devenu un de nos points de référence.

Après avoir expliqué les aléas de la veille pédagogique lors de la formation aux enseignants, je me suis attardé à expliquer le merveilleux monde des flux RSS (ou fils RSS, c’est selon 😉 ). Effectivement, quoi de plus jouissif que de recevoir dans le confort de notre foyer (où tout autre lieu… dont je vous épargne les détails) des nouvelles (des commentaires, vidéos, annonces, échanges, notifications, etc) qui seront à coup sûr nous plaire! On s’équipe d’un bon agrégateur de nouvelles et hop! Des tonnes et des tonnes d’informations déferlent devant nos yeux sans avoir eu à lever le petit doigt. J’exagère un peu, mais à peine.

Pour rester au courant de ce qui se développe dans le monde l’éducation (ou dans tout autre domaine!), les flux RSS vous servira de base. Malgré que… 😉

Petite comparaison: lecture des journaux papier vs les journaux en ligne.

Qui a encore le goût de se taper seulement UN journal (parce que vous n’avez pas le temps d’en lire plus) de la première à la dernière page pour espérer tomber sur des articles intéressants? (Au moins, j’espère que c’est un camelot qui vous l’a apporté… parce que si en plus vous avez été obligé d’aller le chercher au dépanneur du coin…) Vous lisez seulement un journal? Deux magazines aussi! Ah! Vous vous intéressez à plusieurs sujets et… ah oui, je vois, vous avez votre petit rituel de visite de site-que-j’aime-et-que-je-vais-consulter-à-tous-les-jours-voir-s’il-y-a-du-nouveau! C’est difficile de garder le rythme, hein? Les fils RSS, c’est comme être abonné à +100 journaux et ne lire que ce qui nous intéresse…

Par où commence-t-on?

La première fois que vous allez cliquer sur l’icône du flux, on vous demandera comment vous voulez sauvegarder le flux RSS. On n’y échappe pas, ça va prendre un logiciel ou un service web pour pouvoir agréger le contenu. Il existe des tonnes d’agrégateurs. Il faut donc trouver celui qui nous plait le plus, celui dont on comprend bien les options de configuration. Pour ma part, j’ai longtemps utilisé le logiciel de courriel Mail sous Mac. Tout simplement. Une petite recherche sur le web vous permettra de dénicher des agrégateurs en lignes ou à télécharger.

Lors de notre courte formation, j’ai présenter Netvibes pour, entre autre, agréger les fils RSS. Voici un court vidéo présenté par Florence Meichel sur le site Apprendre 2.0 qui explique la façon de s’y prendre.

Comment utiliser l’agrégateur de flux RSS Netvibes

J’ai aussi présenter Google Reader. C’est un service web à la fois simple et efficace. Comme pour Netvibes, il existe une tonne de tutoriel vidéo qui expliquent comment procéder.

Personnellement, j’utilise NetNewsWire (pour Mac seulement), mais je ferai l’essai dans les prochains jours du logiciel multi-plateformes Blogbridge.

Petites astuces rssiennes.

  • Lorsqu’on lit le journal ou un magazine et que l’on aime bien un article, la méthode pour le garder en référence est de le découper et de le mettre de côté (et ne jamais y revenir, mais ça, c’est une autre histoire!). La même chose est possible avec votre agrégateur: un article ou billet peut-être mis en « favori » pour lecture ultérieure.
  • Essayez d’utiliser un agrégateur qui saura générer un fichier OPML au cas où vous changeriez d’agrégateur. Ce fichier est une sorte de sauvegarde de vos flux RSS. Parce que ce serait embêtant de devoir se réabonner à tous ces flux que vous avez pris le temps de colliger!
  • Certains agrégateurs vous permettent de partager vos flux avec d’autres personnes question de leur montrer ce qui vous intéresse.
  • Vous pouvez filtrer les flux! Filtrer comme dans séparer le bon du pas bon, de l’intéressant de l’inintéressant! Mais Stéphane! C’est quoi l’intérêt de filtrer des nouvelles que j’ai déjà, d’une certaine façon, « filtrer » parce que j’ai choisis des sites selon mes intérêts? Si vous êtes le moindrement gourmand, vous aurez rapidement une liste faramineuse de flux qui couvriront des sujets variés. Parfois, un site se spécialise dans un domaine (Ex.: téléphone portable), mais de ce site, vous ne voulez que les articles qui concernent le iPhone.
  • Si l’envie vous prend de vous procurer un iPod Touch ou un téléphone intelligent, utilisez un service qui synchronisera vos lectures sur ce dernier ainsi que sur le web afin d’éviter de relire deux fois la même chose. Et si vous avez mis un article en favori, vous aurez la chance de le retrouver!

Stéphane, on veut une liste de fils RSS!

Ne me demandez pas ça! Forcez-vous un peu! J’peux pas tout faire à votre place! 😉 Blague à part, je garde ça pour plus tard! Dans un billet ultérieur, je vous présenterai mes ressources éducationnelles!

Articles intéressants sur les fils RSS.

En complément à ce billet, voici d’autres ressources.

Gérez vos flux RSS : ne perdez pas le fil de l’actu : Qu’est-ce qu’un flux RSS ?

Panorama des lecteurs / agrégateurs RSS

Les fils RSS : une solution à la veille pédagogique sur Internet?


Allez maintenant, agrégez en paix!

P.S. Pour vous pratiquer, agrégez donc mon blogue! 🙂